Cet arbre avait opté
Pour les courbes
Formant ainsi un trait d’union
Une chanson
Les oiseaux y perchaient
Et les amoureux s’y assoyaient,
Surpris par une vive ondée
De juillet
Ou bien transis
Par un vent frisquet
Parfois, sous la canicule
Ce banc improvisé
Servait d’édicule
Et d’alcôve
Accueillant les doux épanchements.
© Photo, texte, Denis Morin, 2019
A reblogué ceci sur Les pérégrinations de Liondors.
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