Le poète préfère de loin
La compagnie des végétaux
À celle des humains
Parfois si méprisables,
Si détestables
Le monde végétal étale
Sa vitalité,
Ses couleurs,
Ses parfums
En toute gratuité
Le poète savoure de près
Le drapé des pétales
Et la danse des insectes
Venant collecter l’essence
Même de la beauté.
© Photos, texte, Denis Morin, 2019
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Publié par Denis Morin
J'écris d'abord et avant tout de la poésie biographique. Je suis publié en France chez Edilivre. J'écris aussi pour Adret Web Art. J'en suis à développer des catalogues d'artiste et des recueils avec Adret Web Art dans une collection intitulée ''Les Femmes dans l'art''.
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Oh ! Il peut sans doute aimer les deux !
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Il me semble que j’utilise l’adverbe parfois afin d’exprimer mon insatisfaction »temporaire » de la nature humaine.
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