Arts, Piaf

Piaf, toujours l’amour

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Piaf, c’est la chanson française qui entrait dans la maison par le biais de la radio et des 33-tours. Le petit Québécois que j’étais la découvrait à la fin des années ‘60.

Piaf signifie pour moi Paris, les milieux modestes, le bal musette, le cinéma noir et blanc d’après-guerre.

J’aimais sa façon de faire tanguer la musique, de mordre dans les mots et rouler les r et de jouer la tragédie avec sa petite robe noire et ses gestes à la Cassandre.

S’attaquer à un mythe de la culture française n’est pas une mince affaire. J’ai lu sur elle et sa soif d’aimer. J’ai écouté, goûté, me suis imprégné de ses chansons.  Par la suite, je me suis dit que la ligne directrice de sa brève vie fut l’amour : celui que l’on quémande, que l’on offre, que l’on désire, toujours si proche, mais pourtant inassouvi.

Les titres de certains poèmes vous donneront le ton du recueil :

Une enfant de la balle ;

Si j’avais de l’oseille ;

Le beau gosse de Marseille ;

La démesure ;

Mi cigale mi fourmi ;

À chaque amour ;

Je me consume.

À la toute fin du recueil, une chronologie guide le lecteur et pose les principaux jalons de sa vie et de sa carrière.  Le recueil est disponible en papier et en numérique, tant en France qu’au Québec.

Bonne découverte !

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