Moche et terne il se trouve
En cet hiver
Qui s’éternise
Rend blafard l’écorce grise
Le plus radieux des visages
Si proche il se tient
Étirant les bras
Au coin de la rue
Comme les mendiants
À midi, à minuit
Pour quelques pièces
La marchande d’en face lui conçoit
Un air de fête
Avec des lumières
Touche d’espérance dans la nuit
D’un vert samba.
Denis Morin 
Émouvant.
Merci, Denis.
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Cet arbre est tombé dans mon iris la semaine dernière et c’est lui qui a appelé mes mots.
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Vos mots sont toujours très beaux , font jaillir la lumière malgré l’obscurité ! Merci !
L’arbre de vie est l’écrivain !
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Merci ! La vie est un tableau en clair-obscur. Bonne journée.
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Oui infini !
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