10 réflexions sur “Fin du premier jet

  1. Ce projet de roman m’intrigue énormément !
    J’écris aussi des histoires plus longues, pas que des poèmes. Ils prennent une ambiance plutôt fantastique ou fantasy. Écrire c’est vital.

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    1. Ce sont des gens qui se retrouvent et des liens qui se refont. Je n’en dirai pas davantage. J’aime beaucoup avoir un projet à l’avance, surtout pour un texte qui demande de la patience et du souffle, d’autant plus que parfois la vie fait en sorte que des imprévus surviennent… Écrire, c’est une respiration.

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  2. Bravo Denis, un an et un roman d’avance ! Quand je lis « premier jet », j’entends que le travail n’est pas fini. Cela veut-il dire que tu peux travailler sur un nouveau livre (1er jet) et sur un autre (2ème jet) en parallèle ? La cohabitation de deux histoires dans le même cerveau est-elle possible ? Cela m’intrigue.
    Bonne journée Denis.

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    1. Bonjour. Merci de tes bons mots. Les étapes suivantes seront pour moi : passage du manuscrit au tapuscrit; envoi du roman sur Word à une lectrice-correctrice; retrait des coquilles et réaménagement de segments du roman selon ses suggestions; envoi à l’éditeur. Je peux écrire de la poésie et de la prose romanesque en même temps, mais pas deux romans en parallèle. Ça prend trop la tête. Quand j’écris un roman, il m’arrive souvent que les personnages viennent me parler en rêve. Au matin, je note. Je leur offre mes mains. Bonne journée.

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      1. Merci Denis pour ta réponse.
        Le premier jet est donc quasiment le dernier. aux corrections près.
        Je suis rassuré car j’avais beaucoup de difficulté à imaginer que l’on puisse travailler sur deux romans en même temps pour les raisons que tu donnes. Cohabiter avec les personnages d’une histoire est déjà bien assez prenant.
        La poésie a l’avantage de s’inscrire dans un temps très court. C’est un sprint.
        J’adore les rêves, très importants pour moi également. A une époque, j’avais des rêves récurrents qui étaient plutôt des cauchemars. Se terminant mal pour moi et me laissant exsangue, essoufflé et tout petit dans ma vie. J’ai tenté de les influencer en m’endormant, c’est ainsi que j’ai pu résoudre ces cauchemars en les faisant se terminent favorablement.
        Comme par enchantement, j’en ai été renforcé en tant qu’humain.
        En 2017, c’est un rêve que j’ai réussi à attraper et à transcrire rapidement, qui m’a fait écrire plus « sérieusement ». Il est très parlant mais le rêve était tellement plus beau, plus riche, plus cinématographique : https://mauxetcris.com/2017/10/11/chevauche-tes-morts-etends-tes-ailes/
        Bonne fin de journée Denis,
        Régis

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  3. Très beau texte, cf. lien fourni.
    Certains écrivains charcutent allègrement le texte. J’ai une écriture minimaliste. Donc, je n’ai pas le luxe d’envoyer des chapitres entiers à la corbeille. Je peaufine lors du passage à l’ordinateur, puis je repère les coquilles et les passages redondants, à partir des indications de ma correctrice.Je tiens à remettre un document impeccable tant dans la forme que dans son contenu à l’éditeur.
    Cher Régis, les cauchemars peuvent être des tracas ou des situations non résolus. Pendant des années, j’ai rêvé qu’on me plaçait sur un bûcher pendant que ma mère lisait la sentence. Une amie m’a suggéré d’avoir une discussion franche avec ma mère. Puis ce cauchemar s’est estompé peu à peu. Bonne soirée. Denis

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